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L’émergence du hockey sub’ angolais

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A certains endroits du globe, quelques irréductibles hockeyeurs partagent leur passion, allant même jusqu’à créer des clubs. De l’Afrique à l’Amérique en passant par l’Europe et l’Asie, focus sur ces pays peu connus du hockey subaquatique. Sixième épisode avec l’Angola.

Comme un poisson dans l’eau. Les lambulas, une variété de sardines, sont des poissons emblématiques de l’Angola. C’est aussi le nom qu’a choisi l’équipe nationale de hockey subaquatique de ce pays aux mille visages, bordant l’océan Atlantique. En 2017, Laercio Candido organise les premiers entraînements de hockey dans le club nautique de la capitale, Luanda. Désormais président du club, Laercio a découvert le sport au Portugal. Edward Fischer fait partie de ses premiers disciples et depuis, son investissement est sans faille. “Je suis responsable de la partie technique de l’entraînement en plus d’être les yeux et les oreilles du hockey en Angola”.

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Une ascension éclair 

A peine quelques mois après les premiers entraînements, voici le temps des premières compétitions. L’équipe angolaise, composée de beaucoup d’anciens nageurs,  a été invitée à participer au championnat interclub d’Afrique du Sud. Une expérience renouvelée en 2018 et en 2019. “Ce sont mes meilleurs souvenirs. On a laissé notre marque dans le championnat”. Un développement ultra-rapide, symbole de l’ambition des hockeyeurs angolais. Désormais bien équipés, les Lambulas veulent se montrer à la hauteur de leur objectif : participer aux championnats du monde. “On travaille dur pour atteindre le niveau tactique et technique des grandes équipes comme l’Afrique du Sud, la France ou la Turquie.” Cependant pour atteindre leur but, Edward et ses coéquipiers doivent se débrouiller par eux-mêmes

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Se battre pour la reconnaissance

Le hockey subaquatique angolais ne bénéficie pas de l’aide du ministère des Sports  et n’a pas de fédération officielle. Ses clubs ne sont donc pas reconnus par l’Etat. “Chaque joueur doit payer le trajet s’il veut se rendre à un championnat, le président couvre le reste. Le chemin vers les mondiaux ne sera pas un long fleuve tranquille pour les Lambulas. En attendant peut-être une cascade de succès.

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